- Et L`Oiseau de feu Julio Arozarena, somptueux, précis, éclatant et lumineux dans chacun de ses gestes le fait revivre, faisant de cette œuvre le reflet de son sujet. Si le Phénix renaît de ses cendres éternellement, un ballet, éternellement, renaît chaque fois qu’un danseur le fait sien avec autant de lucidité, d`engagement et passion.
Michèle Taddei. Marseille 1996